Je déménage ... vers un nouveau site qui me convient mieux pour plus de possibilités graphiques :
http://coccinetcook.wordpress.com/
J'espère que vous passerez bientôt le voir, il est encore un peu en chantier mais Paris ne s'est pas faite en un jour !
Alors, à bientôt ?!
Le pruneau est un des fruits qui se marie le mieux avec une viande, à mon goût. Il apporte une note légèrement sucrée qui n'annule en rien le reste des ingrédients.
Après les avoir fait gonfler une nuit dans du thé (de préférence thé vert), je les ajoute à la viande que j'ai fait revenir avec quelques oignons ainsi que le thé dans lequel ils ont trempé. Un demi-verre de vin blanc, du sel, du poivre et un mijotage d'environ 40 minutes et avec quelques pâtes fraîches, j'adoooore !
Je participe au petit tour en cuisine n°20.
Trois recettes me tentent.... vous en saurez plus à partir du 13 novembre si vous allez faire un petit tour en cuisine.
Quand je reçois des potes, j'aime bien préparer toutes sortes de petits mets. Tout le monde est content : ils goûtent plein de choses en petites proportions et moi, je reste avec eux et je suis trop contente de leur faire plaisir.
J'ai fait cette recette il y a peu et elle a beaucoup plu, il s'agit d'une recette Tup' :
Retirer la peau d'un maquereau fumé et les plus grosses arêtes et mixer la chair avec un peu de poivre noir puis écraser 100 de Saint Moret ou un autre fromage frais avec 1 càc de wasabi et l'ajouter à la chair de maquereau.
Bien mélanger et tartiner des petits morceaux de pain de campagne ou mettre dans un joli récipient au milieu de la table avec des morceaux de pain et des couteaux.
Bien frais avec de la ciboulette ciselée, c'est vraiment sympa. Si vous l'essayer, faites votre commentaire pour me dire si cela vous aura plu.
Pas de photo pour ce post, bah oui : mes petits morfalous ont tout avalé !!
Voilà un plat que j'adore mais que je n'avais pas encore réalisé !
Merci au blog la-cachina.over-blog.com
La prochaine fois, je m'attaque à la vraie brandade mais il faut un début à tout...
Donc pour 4 personnes :
300 gr de morue
250 gr de pommes de terre pour purée (la bintje est idéale selon moi)
2 gousses d'ail
150 ml d'huile d'olive tiédie
300 ml de lait tiédi
Mettre la morue à dessaler pendant 12 à 24 heures en changeant l'eau au moins 3 fois.
Ecraser l'ail dégermé avec un peu de sel fou (très peu, la morue étant salée),
pendant ce temps faire pocher la morue :
commencer à froid, écumer régulièrement, quand l'eau arrive au bouillonnement c'est cuit !
Effeuiller la morue en veillant à retirer toutes les arètes, ajouter le poisson à l'ail pilé et passer au mortier en ajoutant l'huile d'olive et le lait petit à petit.
Quand on ne distingue plus les morceaux de poisson, le mélange est prêt à être mélangé aux pommes de terre en purée.
La version d'un oncle connaisseur :
Verser l'huile d'olive, le lait et l'ail pressé dans une grande casserole. Une fois le mélange chaud, ajouter les miettes de morue en tournant à la cuillère en bois continuellement, jusqu'à ce que le tout forme la texture d'une purée. Bon, elle est tellement bonne quand il l'a faite pour moi que je n'ose pas encore la faire moi-même. Vous savez ce que c'est !
Encore un excellent moment avec ce livre ! J'aime beaucoup les livres de cet auteur, il me fait beaucoup rire et dit des choses pleines de bon sens.
Si vous aimez la nature, les personnages simples et très "humains", alors vous devriez apprécier les écrits de ce finnois plein d'humour doux-amer.
Un écrivain qui parle au coeur de ses lecteurs !
Si vous n'avez pas lu "Le coeur cousu", que vous êtes une femme et que vous aimez l'introspection objective et les émotions qu'elle peuvent procurer, courrez-vous le procurer !
J'ai eu l'occasion de rencontrer Carole Martinez et ce fut un réel plaisir, c'est une de ses personnes qui ont reçu et donnent à leur tour de l'émotion sans rien attendre en retour.
Ce fut pour moi un très beau moment de lecture.
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A writer who speaks to the heart of its readers!
If you have not read "The heart sewn," you are a woman and you like introspection objective and the emotions it can bring, read it!
I had the opportunity to meet Carole Martinez and it was a pleasure, it's one of the person who received and in turn give the emotion without expecting anything in return.
For me it was a beautiful time of reading.
A small simple recipe for a quiche fluffy.
I took there a bunch of time in a package Herta (gna-gna-gna) and since I adapt depending on the contents of my fridge:
yogurt or soy milk carton can replace sour cream,
a pinch of nutmeg is the very kindly,
sometimes one remaining tomato pulp just waiting to color the whole
Sometimes a cheese that comes squatter mixture (but no one complained so far!)
In short, the basic recipe is a mixture of:
* 2 eggs, beaten
* 10 ml milk
* 20 ml liquid cream
* Salt and pepper
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Une petite recette toute simple pour une quiche moelleuse.
Je l'ai prise il y a un paquet de temps dans un emballage Herta (gna-gna-gna) et depuis j'adapte selon le contenu de mon frigo :
un yaourt ou une brique de lait de soja peuvent remplacer la crème fraîche,
une pincée de muscade relève gentiment le tout,
quelques fois un reste de pulpe de tomate qui ne demande qu'à colorer l'ensemble,
parfois un fromage fondu qui vient squatter le mélange (mais personne ne s'en est plaint jusque là !)
Bref, la recette de base c'est un mélange de :
Merci à ma petite maman qui m'a appris tant de petites ficelles pour maman-active soucieuse de diversifier la nourriture de sa fratrie !
Préparer un roux : Faire fondre le beurre dans une casserole et ajouter la farine en remuant avec une cuillère en bois.
Ajouter le contenu de la boite de concentré de tomate et mélanger à nouveau. Ce doit être bien homogène.
Ajouter l'eau petit à petit en mélangeant doucement, la sauce va légèrement épaissir.
Au bout de 5 à 10 minutes, ajouter les cornichons en rondelles, saler, poivrer et servir sur des côtes de porc ou un rôti, l'un ou l'autre accompagnés de riz.
Au fait, si quelqu'un sait pourquoi cette sauce s'appelle charcutière, merci de partager l'info !
Bon, la photo n'est pas terrible mais vous ne m'en voudrait pas, n'est ce pas ?
En nous promenant dans les dunes des côtes du Finistère, nous avons senti une odeur proche de celle de la noix de coco. C'est un habitant du coin qui m'a mise sur la voie : les ajoncs embaumaient l'air ce jour-là !
